Témoignages - reprise / cession d'entreprise

Création d’entreprise en Auvergne – La Musette du Bougnat

Les ambertois vont pouvoir découvrir ou redécouvrir leurs produits locaux et régionaux. Nombreux en été dans le Parc du Livradois-Forez, les touristes trouveront leurs plus beaux souvenirs de voyage… Bienvenue à La Musette du Bougnat !

Laetitia Sauzedde est à l’initiative de ce projet qu’elle avait à cœur de réaliser depuis plusieurs années. La jeune créatrice de 26 ans est forte d’un parcours atypique : un CAP coiffure en poche, elle passe ensuite un Bac Pro Secrétariat, mais c’est vers la grande distribution qu’elle décide finalement de se diriger.

Après avoir pris le temps de découvrir toute l’étendue des produits régionaux proposés en Auvergne, Laetitia Sauzedde se lance dans la création d’une boutique : La Musette du Bougnat.

« J’avais besoin d’indépendance, je voulais travailler pour moi, j’ai toujours considéré que c’était toujours plus intéressant que de travailler pour les autres. Je pense à ce projet depuis 4 ou 5 ans et j’ai commencé mes démarches en août dernier, soit 8 mois avant l’ouverture de mon magasin ».

La Musette du Bougnat propose un large  éventail de produits locaux et régionaux : thés, cafés, salaisons, etc. Mais aussi de nombreux objets souvenirs typiques de l’artisanat régional.

Laetitia Sauzedde a été accompagnée par la CCI Puy-de-Dôme qui l’a mise en relation avec différents conseillers près de chez elle. « Après avoir évalué mon projet, j’ai été conseillée, orientée et accompagnée dans mon parcours de création. C’était un vrai plus ».

Même si Laetitia Sauzedde ne se projette pas encore à long terme, la jeune créatrice ne manque certainement pas d’idées pour l’avenir : « J’envisage, pourquoi pas, de recruter un emploi étudiant pour m’aider l’été lorsque la clientèle touristique est nombreuse, ou bien encore de développer un service de livraison à domicile. »

La Musette du Bougnat
8 boulevard Sully - 63600 AMBERT
Compte Facebook : https://www.facebook.com/lamusette.dubougnat

Source: Le Journal de l’Eco